J’ai parlé en avril, au moment de la fête des cerisiers, de Yoshiko, une amie japonaise qui, précautions sanitaires obligeant, n’avait pu venir admirer (et déjeuner sous) les cerisiers en fleur. L’article évoquait le sens de cette célébration, l’Hanami, telle qu’elle la concevait, telle qu’elle l’avait vécue. Elle est passée…