En ce moment d’éloge, d’encensement de la littérature engagée promue au grade de Nobel 2022, il est bon de revenir à quelques fondamentaux. C’est rendre hommage à l’émotion que suscite l’écriture chez les plus audacieux, les plus rebelles des commentateurs. N’hésitons pas à mettre un pied dans le passé et à toucher du doigt une belle tradition intellectuelle. Tendons l’oreille à l’apologie combien méritée d’Emile Brouchenard.
Source : INA