Samedi dernier la ville s’était mise à l’heure japonaise. Des stands avaient été montés dans la rue Houdan, partie piétonne ; ils proposaient des poupées, des éventails, des vêtements ou des parfums. L’origine nippone n’avait rien d’assurée, mais qu’importe. Dressés au milieu de la rue, les stands s’ouvraient sur la droite…