L’année 2020 restera certainement l’année de la pandémie du Covid, avec toutes les contraintes quotidiennes, les menaces sur l’emploi et les commerces, voire les pertes d’êtres chers qu’elle a engendrées pour chacun. Bien sûr, la vie a continué et il n’y a pas eu que de mauvaises nouvelles : des personnes ont trouvé l’âme sœur, des enfants sont nés, des jeunes ont réussi des examens ou des concours…
Aux vœux de bonne et heureuse année, de bonne santé, que vous recevez, chers lecteurs, la Gazette de Sceaux se joint chaleureusement.
Elle a publié son premier article le 10 mai de cette année, c’est dire qu’elle est née avec la crise sanitaire et s’y développe depuis. Initiative basée sur le bénévolat de Scéens désireux de partager leurs expériences de la ville, elle publie chaque jour un article, hors les dimanches et les vacances.
Notre regard se porte évidemment d’abord sur notre commune et ceux qui l’animent de multiples manières. Nous avons entrepris une série de portraits de personnes qui y agissent, y travaillent, s’y engagent. Nous avons bien l’intention de continuer dans ce sens. Mais Sceaux n’est pas une île isolée à des milliers de kilomètres de toute zone habitée. C’est pourquoi, nous publions des analyses sur des tendances fortes qui, pour être nationales, ne concernent pas moins notre ville : ainsi le Covid, la transition énergétique ou les questions de mobilités. En même temps, nous suivons et discutons les travaux des élus, quelle que soit leur orientation. Et lorsque nous en sommes témoins, nous relatons sans délai des événements marquants qui surviennent dans la ville.
À côté de la presse municipale qui porte légitimement l’information officielle, à côté des réseaux sociaux le plus souvent impulsifs, il nous semble nécessaire d’avoir un lieu d’échange avec des arguments et non des invectives, avec des idées et non des onomatopées.
C’est l’ambition de La Gazette de Sceaux. Nous vous invitons chaudement à participer, si le cœur vous en dit.
Bonne année 2021.
La rédaction.