L’avenue Jean Racine, dans laquelle nous demeurons, vient en quelques jours de vivre trois incidents qui ont un point commun en matière de sécurité publique : tentative de cambriolage ou cambriolages.
D’abord, une tentative seulement…
Un couple de voisins, qui a déclaré l’incident sur l’application « voisins vigilants et solidaires » a découvert que des cambrioleurs avaient tenté de fracturer une porte-fenêtre située à l’arrière de leur maison. Le montant était bien dégradé et la Police nationale s’est mise sur l’affaire. Elle a pris les dispositions pour qu’un éventuel retour des protagonistes pour finir le travail ne puisse réussir et soit au contraire l’occasion de les appréhender.
En définitive, le retour n’a pas eu lieu.
Puis un « petit » cambriolage…
Le domicile scéen d’un couple bien connu de tous dans l’avenue, le mari ayant longtemps fait partie de l’équipe municipale, a été visité il y a quelques nuits de cela, alors qu’ils demeuraient dans leur autre domicile.
La Police nationale leur a indiqué que cela était sans doute le fait de « petites frappes » qui se sont contentées de forcer des persiennes à l’arrière de la maison et de voler quelques objets dans une chambre d’enfant.
Et un flagrant délit de cambriolage
Enfin, la nuit dernière (de samedi 26 au dimanche 27 février), un cambriolage a eu lieu à quelques maisons de la nôtre. La Police nationale ayant été suffisamment réactive pour intervenir pendant l’infraction, elle a interpellé un des deux délinquants alors que son complice franchissait le mur du jardin séparant la maison et celle du voisin.
Un policier de Bagneux (de l’équipage disponible le plus proche mobilisé par la plate-forme du 17) a sonné à notre porte ainsi qu’à celle de chacun des propriétaires des maisons se trouvant entre le lieu de l’infraction et la nôtre. Il a fait le tour des jardins afin de vérifier si le jeune homme était passé de jardin en jardin, avec des collègues du commissariat de Chatenay, arrivés également entre-temps…
Il est d’ailleurs possible qu’il ait procédé ainsi, car notre chienne nous a signalé par plusieurs salves d’aboiement qu’elle avait détecté quelque chose d’anormal.
Il est possible aussi qu’elle ait détecté la fuite de cette personne de l’autre côté du mur de séparation de l’emprise du RER qui longe le fond des jardins…
Voilà en tous les cas une période bien agitée sur le plan de la sécurité des biens (voire des personnes, selon la façon dont les choses tournent). Cela a peut-être un lien avec la période des congés scolaires.
Une observation qui rend les choses plus sereines : la Police nationale était présente et active sur les trois affaires et en liaison avec le STU de Sceaux.
Une autre observation : il nous appartient, tous et chacun, d’être vigilants sur la fermeture de nos habitations, les accès, les volets, l’activation nocturne des systèmes d’alarme, etc…
Et surtout, un seul numéro à composer, si vous deviez être concerné ou témoin, le 17, qui permet à la plate-forme départementale de mobiliser les forces le plus immédiatement disponibles.