Les rentrées sont souvent des moments de nouveauté et de décision. A la Gazette, nous avons entrepris de changer son sous-titre qui fut « Vie quotidienne au fil de Sceaux » et qui devient « Vivre sur la ligne de Sceaux ». C’est la manière que nous avons choisie de montrer que notre périmètre d’intérêt est désormais celui desservi par la ligne de Sceaux. Plus précisément la branche courte du Y qui forme la ligne au sud de Paris, plus communément connue comme la branche de Robinson. A savoir en premier lieu Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry, Fontenay-aux Roses et Sceaux.
Cela ne sera pas le seul changement que les lecteurs pourront découvrir dans les semaines qui viennent. Nous allons développer les enquêtes sur les questions locales. En sachant que cela demande souvent beaucoup de travail et d’investigations, donc cela ne se verra pas tout de suite.
Plus immédiat, nous comptons poursuivre les articles présentant une sélection des événements locaux, qui ont vocation à intéresser tous les habitants vivant sur la ligne de Sceaux. Avec un rythme bi mensuel. Pour faire connaitre des événements qui se passent à deux pas de chez vous, et qui peuvent vous intéresser, même si cela n’a pas lieu dans votre ville.
Nous continuerons à publier des portraits de personnes qui agissent dans nos communes et à rendre compte d’événements qui s’y déroulent.
Bonne rentrée à tous !
Merci de ces précisions
Mais nous ne lançons pas une rubrique nouvelle : c’est le sous-titre de la Gazette qui change : il passe de « vie quotidienne au fil de Sceaux à Vivre sur la ligne de Sceaux, pour marquer le fait que les articles concernant Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry et Fontenay-aux-Roses seront plus fréquent
Bonne idée de lancer une rubrique sur la ligne de Sceaux maintenant célèbre pour ses dysfonctionnements, qui fait que RER rime si bien avec galère, alors que pendant des années ce fut une ligne à la fois fiable et recherchée. Ligne structurante pour Sceaux. Mais il n’y a pas de branche de Robinson; il n’y a qu’une ligne de Robinson, qui fonctionne à part entière et va jusqu’au nord de Paris comme les 3 autres lignes. Il n »a jamais été question de supprimer ce bout de ligne qui est la partie historique de la ligne, ouverte depuis 1848.
Curieusement, car elle dessert des établissements d’enseignement et également centres d’examens; elle est la « variable d’ajustement » du RER B: en cas de problème sur les lignes la RATP sacrifie celle de Robinson sous prétexte qu’elle est plus courte.