Le chat regarde-t-il un film effrayant comme le suggère la légende de la vidéo? Ou un simple polar? Nous ne le saurons jamais. Et d’ailleurs, ça n’a aucune importance. A l’inverse de la fascination qu’exerce sur lui le film qu’il regarde . Il est dans l’action. Il n’en perd pas une miette.
Ses pupilles se dilatent quand la tension augmente. Il vit la scène. La musique doit y être pour quelque chose. N’oubliez pas d’activer le son. Il est indispensable.
Le foot rend-il fou jusques et y compris dans le monde animal? A écouter le reportage, on comprend que l’action est magnifique et que le but qui la couronne va entrer dans l’histoire (y en a tellement dans l’histoire). On comprend donc que le chien y soit sensible. D’autant qu’il soutient de toute évidence l’équipe responsable du véritable exploit qu’il a sous les yeux.
Celui qui n’a jamais sauté de joie quand son équipe a marqué s’estomaquera de l’emballement survolté de l’animal. Pour les autres, ce sera le signe qu’il a parfaitement compris la beauté de la construction. Comme ils la comprennent eux-mêmes sur le canapé ou au café: spontanément. Reconnaissons que le speaker, à la brésilienne, n’y va pas par le dos de la cuiller en matière de fébrilité. Ce qui n’ôte rien à l’intelligence sportive de notre téléspectateur canin.