Nul signe extérieur ne signale la crèche parentale des Fripounnets, au bout de la rue Raymond Py, à deux pas de la maison de retraite Renaudin. Heureusement, Julia Barbier, la présidente de l’association qui gère la crèche, m’attend devant l’entrée de l’immeuble. Quelques minutes après avoir fait connaissance, nous entrons…