Le parc de Sceaux, c’est génial ! Mais ce n’est pas le seul moyen de s’aérer pour les scéens.
A deux sauts de puce, l’Arboretum de la Vallée-aux-loups nous offre son calme, la diversité et l’originalité de ses essences. Aujourd’hui, il est clairement séparé du parc de la Vallée aux loups ou de celui de de la maison de Chateaubriand pourtant contigus.
Une habitante de Châtenay de mes amies m’a certifié qu’il y a 30 ou 40 ans on trouvait de nombreux passages pour aller de l’un à l’autre. Ce n’est malheureusement plus le cas, pour des raisons que j’ignore.
Il y a des saisons particulièrement agréables pour visiter l’arboretum : au début du printemps, avec la floraison ou au début de l’automne quand le vert commence à virer vers d’autres couleurs.
C’est cependant toujours un plaisir de découvrir les grandes étendues herbeuses et les petits coins presque cachés, les arbres s’élançant vers le ciel et les parterres de fleurs, les espèces originales ou plus traditionnelles. Et bien sûr aussi la collection de bonzaïs.
On, ne peut évidemment manquer le fameux cèdre pleureur de l’Atlas, espèce née à Sceaux par hasard et élue plus bel arbre 2015. L’exemplaire que l’on peut toujours découvrir à l’Arboretum a une ramure qui couvre près de 700 m2.
Il y a des visiteurs bien sûr. Mais beaucoup moins qu’au parc de Sceaux, ce qui accentue l’impression de calme.
Je suis déjà venu souvent. J’y ai emmené des amis. Je reviendrais bien sûr !